De l’international, à travers la conférence dédiée de l’ONU les 22 mars et 24 mars 2023, à notre Guadeloupe sur la bombe sanitaire de l’assainissement, en passant par l’Hexagone, en proie à la crise des "méga bassines" ; le monde entier bruisse de moult problématiques liées à l’Eau.

Objet d’enjeux croisés, la gestion de l’eau incite les urbanistes et invite les politiques à adapter nos projets d’aménagement qui par l’innovation, qui par la simple remise au gout du jour, de préceptes antiques.

Parmi ces approches, voisine mais néanmoins distincte de l’acception métaphorique de Bernardo Secchi et Paola Vigano dans le cadre du Grand Paris ; il convient de valoriser le concept de la ville poreuse (et spongieuse).
Promue par l’urbaniste et hydrologue Christian PIEL, qui l’a développée concrètement sur des projets distingués par l’ARB ; ce concept porte sur la mise en place de mesures facilitant l’infiltration des eaux de pluie en ville.
Sur notre archipel guadeloupéen, concerné sur certains sites, par un rythme artificialisation des sols amplement au dessus de la moyenne hexagonale ; ce concept trouvera, dans la variété des programmes urbains ayant cours ces jours ci, un terreau des plus favorables.


Voir en ligne : La "Ville poreuse", levier d’atteinte de l’objectif ZAN ?

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